Ca déménage !

« La seule chose qui ne change pas, c’est le changement. » auteur non identifié

Comme pour confirmer la citation, la vue a déjà changé : arbre de droite abattu

 

Ce nouvel article fait écho au dernier article de la rétrospective  sur le thème du changement.
Est-ce volontaire ? Je ne sais mais c’est plutôt logique… ou guidé par la Vie

Quelle aventure qu’un déménagement, même 9 mois après le précédent, même en partant d’un T2 meublé. Je réalise à quel point je choisis encore de m’entourer (pour ne pas dire de m’encombrer) de choses. Principalement de livres, dossiers, carnets, accessoires créatifs, outils… Les affaires domestiques prennent aussi de la place (vaisselle, aliments, produits…). Incroyable, et pourtant en juin dernier j’en ai déjà lâché un max en quittant la Normandie avec moins de 5m3. Occasion de tri intensif et j’en suis ravie.
C’est que pour l’instant, j’en suis là. J’accepte, et j’assume.
Si, comme j’en rêve, ma prochaine étape est une micro-maison, j’ai encore de quoi me réorganiser. Simplifier !
Au-delà de ces considérations « encombrantes » qui furent l’occasion d’un week-end pascal vraiment sportif (muscu et step intensifs), je vis désormais dans ce que je considère comme un palace avec vue (cf. photo de mon séjour) comparé à l’appartement urbain précédent même s’il était joliment aménagé.
Comme une Respiration

La vie est étrange, ou plus exactement
la vie est magique !
En effet, je n’avais pas prévu de déménager avant juin, et je m’étonnais de ces 2 mois d’avance. Un peu contrariée de devoir investir ces 2 mois de loyer €€. Puis j’ai vite réalisé que la vie savait bien mieux que moi ce qu’il me fallait car les nouvelles mesures sanitaires (obligations légales et professionnelles) m’imposaient de télétravailler au moins 1 journée par semaine. En fin d’année, j’en avais testé l’inconfort dans le logement précédent. Qui plus est, quelques jours plus tard, j’ai été contrainte à une semaine complète de télétravail.
Merci la Vie 🙂
Le message fort et clair est d’oser aller avec le courant, d’accueillir ce qui se présente, si c’est en phase avec moi, même si ce n’était pas prévu ou raisonnable !
L’explication arrive éventuellement ultérieurement…
La vie est faite d’expériences.
Plus je suis à l’écoute de ce qui me correspond, plus ces expériences sont douces et bénéfiques (avec leurs challenges).
Quel apparent paradoxe de me trouver dans cette grande maison alors que j’aspire à une micro-maison (environ 30m2). Mais au fil de ma vie, j’ai appris à faire confiance à mon intuition : c’est elle qui m’a guidée dans mes décisions, surtout les plus importantes, comme l’an dernier le départ vers La Réunion.

Assez parlé de moi : qu’en est-il pour toi ?

Auto-coaching :

Qu’attends-tu de la vie ?
Que t’offre-t-elle ? Qu’en saisis-tu ?
Qu’as-tu zappé dernièrement ? Pour quelles raisons ?
Qu’en dis-tu a posteriori ?
Quelle sera ta prochaine expérience audacieuse ? Celle qui te tente… et que tu n’as pas encore osé

Expérience :

Si tu estimes que tu ne crois pas en l’intuition ou que tu n’es pas en contact avec la tienne, je te recommande Intuitio, le nouveau roman de Laurent Gounelle, qui t’emmènera dans une histoire étonnante et agréable tout en te faisant découvrir les leviers de l’intuition.

Cette année, vu la situation… à quoi bon les Voeux ?

Arbre de Vie de Jeff Angelo

A plusieurs reprises, j’ai entendu ce genre de réflexion et cela m’a interpellée. A fortiori, le traditionnel « et surtout la santé » devenu « la santé ça sera déjà bien ». Notre vie se limite-t-elle à la survie ?

Si tu me connais, tu sais que par vœux, j’évoque : ce que tu veux vivre !
Pas seulement ce qui pourrait t’arriver en cas de miracle…
La magie c’est à nous de la générer

Ainsi, en ce début d’année, je me suis longuement demandé comment aborder ce sujet.
Voici ce qui en ressort… je souhaite que cela te parle et éventuellement t’aide dans ton quotidien.

Si je devais résumer :

Et si la situation actuelle était une occasion plus particulière d’exprimer notre pouvoir ?
D’oser courageusement choisir en notre âme et conscience d’être nous-même !

Choisir en son âme et conscience, c’est écouter en soi, pas que autour de soi.

Comment le savoir ? A mon avis c’est quand je suis capable d’assumer pleinement la responsabilité de mon choix, sans le reprocher à Pierre, Paul, Jacques, ni même Emmanuel, Donald ou Ibrahim.

Evidemment, j’ai envie de te souhaiter une merveilleuse année 2021. C’est ce que je fais en général dans mes messages SMS et pourtant c’est assurément incomplet (voire abusif si c’est pris comme une phrase magique). Voici la suite :

Même si ce n’est pas le cas de tous, plusieurs personnes m’ont exprimé à quel point 2020 avait été une année extraordinairement bénéfique pour elles !

« Soyons le changement que nous voulons pour le monde. »

Cette phrase de Gandhi interpelle notre responsabilité, c’est à dire notre pouvoir.

Je suis convaincue que chacun a du pouvoir, au moins le pouvoir sur soi.

Pourtant, si souvent nous abdiquons, ne serait-ce qu’en affirmant que d’autres sont responsables de ce que nous vivons. Ce faisant, nous devenons victime.

Oser le pouvoir sur ma vie : n’est-ce pas mon premier challenge ?

Pour cela, pour éviter de me mettre la pression, mieux vaut identifier mon champ d’action… j’apprécie la phrase-prière de Marc Aurèle (empereur romain et penseur) :

« Que la force me soit donnée d’accepter ce qui ne peut être changé,
le courage de changer ce qui peut l’être,
et la sagesse de distinguer l’un de l’autre.
 »

Par exemple, je ne peux rien sur la météo (sauf à déménager, je ne te dirai pas le contraire !) alors à quoi bon me plaindre du froid (ou de la chaleur pour moi) ?

Par contre, je suis pleinement responsable de mes pensées, des mots qui sortent de ma bouche et de mes actions (comportements, attitudes).

 La question n’est pas d’être parfaite (je dérape si souvent !) mais de me sentir de plus en plus en phase avec moi-même… avec moi m’aime !

Suis-je fier de ce que j’ai dit ? De ce que j’ai fait ?

         Quand ce n’est pas le cas : qu’ai-je envie d’en faire une prochaine fois ?

Voici un vœu concret, et accessible : une intention qui m’offre une direction à prendre.

Pourquoi ne pas commencer par un bilan des 12 derniers mois ?
Ce sont les points d’appui, les fondations de la suite…

Quelles messages ces derniers mois m’ont-ils offert ?

S’il n’y avait qu’un mot, je dirais flexibilité. Et toi ?

Le mot choisi peut évoquer des aspects désagréables… ou agréables.
La question est alors : quelle est son utilité pour piloter ma vie en 2021 ? 

Comment t’y aider ?
Si tu en ressens l’envie ou le besoin, voici quelques suggestions :

Pour reprendre pas à pas le travail de bilan et de mise en perspective, je te propose de reprendre le calendrier AAA que j’ai mis en ligne l’an dernier, les autres outils auto-coaching du blog www.jepilotemavie.net et les cartes-coach Foi en Soi (tirage gratuit en cliquant sur le lien). 

Pour les accompagnements à distance j’ai mis au point 2 programmes spécifiques :

Il y a aussi le « coaching coup de pouce » : possible en présentiel et distanciel 

A suivre, en avril, un nouveau groupe Master Mind… 

NB : Ces vœux partagés le 31 janvier témoignent de ma tendance à la procrastination, et aussi… de mon rythme personnel. Ainsi, j’ai constaté que mon nouveau cycle annuel commence début février. D’ailleurs, l’an dernier j’ai eu le plaisir d’animer une conférence dîner au Mancel le 4 février et d’établir un premier contact avec La Réunion le 6. 

Quand démarrer un nouveau cycle ?

Pourquoi pas le 1er février ou même le 3, et pourquoi pas le 12 pour le nouvel an chinois ?
Le 1er janvier n’est-ce pas un choix arbitraire ?

Quel est ton rythme personnel ?

Et si tu le respectais plutôt que de te contraindre au rythme proposé par le calendrier ? 

Le bon sens : sens dessus dessous !

Évidences ou tendances : qui pilote mes choix ? Qui décide du bon sens ? 

Le bon sens selon Irène Grosjean

Pour se faire une idée, je t’invite à jeter un regard en arrière…
Puisse le passé offrir une prise de recul qui nous permette de :
mieux appréhender le présent, et de
préparer l’avenir auquel nous aspirons.

L’homme s’auto proclame espèce supérieure aux animaux. Quand je parle de l’homme comme étant un animal, je fais face à des protestations : « non, nous ne sommes pas des animaux » ! Espèce supérieure ? Probablement pour ce qui est de l’irrespect ou de l’extermination d’autres espèces.
Il y a quelques dizaines d’années, l’homme n’était-il pas « reconnu » comme de race supérieure ? N’est-ce pas cette « évidence » qui lui a permis d’asservir les autres : colonisation et esclavage ? Ces pratiques étaient légales, normales, voire encouragées (pour favoriser l’économie).

Que dire des femmes, elles aussi « reconnues » comme inférieures et légalement soumises, jusqu’en 1965 (en France), à l’autorité masculine (père puis mari) ? Il est vrai que dès 1945 elles avaient obtenu l’autorisation d’être citoyennes (droit de vote et d’éligibilité). Pour certaines religions, comme le catholicisme, la femme reste subordonnée au pouvoir des hommes (pas d’accès aux fonctions clés).

Un certain Adolf Hitler, autrichien avec probablement des origines juives, n’a-t-il pas convaincu une grande majorité d’allemands que les personnes d’origine juive étaient de race inférieure et étaient à l’origine de tous les problèmes du pays ? Avant que cela ne devienne scandaleux en 1944, n’était-il pas du devoir de tout citoyen français de dénoncer les personnes susceptibles d’être d’origine juive ? La France n’a-t-elle pas contribué à la déportation vers les camps de concentrations ?

Cela c’est notre histoire récente.
Facile de juger le passé…
Qu’en est-il aujourd’hui ?
Comment lire 2020 avec les lunettes d’un terrien de 2040 ou même 2120 ?
Voici qui interpelle notre responsabilité, n’est-ce pas ? Comme le fait la chanson né en 17 de J.J. Goldman
Et si des situations aussi inacceptables existaient actuellement et que nous en soyons inconscients ?
Ai-je conscience aujourd’hui de situations que nos descendants considèrerons peut-être comme aussi inacceptables et barbares que l’esclavage des humains, la soumission des femmes à l’autorité masculine, l’extermination des personnes d’origine juive ?
Qu’en est-il des traitements réservés aux animaux ? Zoos, élevages intensifs ? cf. Matrix
Ces situations ne semblent-elles pas normales, voire inévitables pour la plupart d’entre nous, comme l’étaient l’esclavagisme au 18ème siècle ?
L’élevage intensif ne ressemble-t-il pas à des camps de concentration ? En quoi le fait que ce ne soient pas des humains justifie-t-il ce genre de traitement ? Sachant que cette situation est récente (2ème partie du 20ème siècle), en quoi est-ce nécessaire ? Certains répondent que c’est pour satisfaire nos besoins alimentaires… Ne sommes-nous pas en surconsommation ? Ce qui génère du surpoids (certains parlent d’épidémie de diabète ! Comme si c’était contagieux… sans doute pourraient-ils alors parler de pandémie de surpoids.) Coline Serreau suggérait en douceur cette prise de recul dans son film d’anticipation « La Belle Verte ».

L’idée n’est pas de juger mais plutôt de décider en conscience.
Puisse le passé éclairer notre responsabilité présente.

Auto-coaching :

Qui suis-je aujourd’hui ?
Quelle est ma liberté ? Quelle liberté suis-je prêt.e à me reconnaître ?
Qu’ai-je envie de vivre ?
Comment l’acter au quotidien ?
Et si je profitais de la période des vœux pour m’auto-définir ?
Pour choisir le bon sens qui fait sens pour moi ?

La gratitude : quelle ressource aujourd’hui ?

mon tableau matinal : Merci

Depuis plusieurs années, j’ai érigé le 26 novembre comme « Journée de la Gratitude. Ainsi, malgré un agenda trépidant, et peu de publications, je m’en voudrais cette année, de ne pas te partager cet événement.
Voici mon invitation 2020, l’année de tous les possibles !!! 

Certains voient la gratitude comme une soumission : « devoir dire merci », d’autres comme la réponse à un événement très spécial, ce sont des considérations externalisées.
Je préfère la voir comme la célébration de ma relation à moi et au monde :
regarder ce qui m’est agréable et le célébrer. 

Ouvrir les yeux au réveil et être capable de voir : n’est-ce pas déjà merveilleux ? Avoir de l’eau à disposition pour me désaltérer, ou mieux encore avoir assez d’eau pour prendre un douche, peut-être même chaude ? Disposer de vêtements, voire de vêtements que j’ai choisi parce qu’ils me plaisent ? Rencontrer des personnes que je salue, voire qui répondent à mon bonjour ? …  Si je m’attèle aux exemples, je ne suis pas prête de finir l’article : ils sont assurément infinis ! Même si je traverse une période de vie très difficile, il reste des multiples raisons de me réjouir ! Ceci est mon choix de chaque instant…
Ainsi, j’ai choisi ce 26 novembre pour se le rappeler. Comme pour le 8 mars, journée internationale de la femme, ce n’est pas le seul jour de l’année où c’est important, que dis-je, essentiel.

Auto-coaching : crée ton calendrier de l’Avent !

Cette année, plutôt que d’en acheter un plein de chocolats, je te propose de te créer ton calendrier de l’Avent de la Gratitude. Sans considérations religieuses, à toi de choisir ce que tu vises. Je te propose symboliquement l’entrée dans la nouvelle année.

Peu importe le support que tu choisis, l’essentiel est qu’il te parle et tant qu’à faire, te plaise !
A toi, chaque soir d’y glisser 3 raisons de remercier pour ce que tu as vécu ce jour. Et le matin de le regarder pour « lui suggérer » de t’inspirer pour les raisons nouvelles du jour. Ainsi, dès le réveil, ton attention sera focalisée sur ce qui t’est agréable.
Je te souhaite de faire cette expérience, par exemple durant les 36 prochaines journées qui nous séparent de 2021.

Belles rencontres avec la face merveilleuse de ta Vie.

NB : Nooon vraiment pas besoin de vivre sous les tropiques pour cela. Ici aussi il y aurait de multiples raisons de se plaindre !
La vraie aventure est n’est-ce pas d’oser sa vie ?
La mienne m’a conduite ici sans que je comprenne pourquoi, pas à pas je le découvre.  

Intégration : la rencontre quelle opportunité ?

Arrivée à La Réunion il y a moins de 4 mois, alors que je n’avais jamais voyagé aussi loin, voici une expérience d’adaptation et d’intégration. J’ai déjà parlé de mes premiers étonnements en juillet.  Heureusement, pour éviter le choc thermique je suis arrivée en hiver (juillet), passée de l’été normand à l’hiver réunionnais, soit 22°C environ en bord de mer. Transition confortable.
Des paysages à couper le souffle, l’océan bleu et les montagnes vertes se côtoient avec grâce. La nature s’offre à la vue de tous côtés, même en cœur de ville ! Des virages de rallye a gogo, mieux vaut aimer conduire ! Des habitants accueillants, qui, en général quand ils apprennent que je m’installe me gratifient d’un « bienvenue à La Réunion » tout sourire. Ce n’est pas en Normandie que j’ai entendu cela 😉
Des habitants d’origines diverses, réunion des cultures… mais là fût ma plus grosse surprise : ils se qualifient les uns les autres de « Yab », « Zarab », « Gros blanc », « Chinois », « Malbar », « Cafre », « Zoreil »… Ce que moi j’appelle des étiquettes. Pourtant, je croyais que c’était l’île des mélanges culturels, je me suis sans doute trompée, c’est plutôt l’île du vivre ensemble. Les communautés demeurent et s’identifient par leurs origines géographiques, religieuses et ethniques avec ces qualificatifs. Les créoles sont ceux qui sont nés sur l’île, de préférence de parents créoles, car les enfants d’un couple créole/zoreil sont des zoréols.
Petit détour par ces étiquettes dont j’ai encore bien du mal à comprendre l’intérêt.
Les Yabs ou petits blancs des hauts et les Gros Blancs sont d’origine européenne. Les premiers étant plutôt modestes et les seconds fortunés. Les Malbars sont des indiens hindouistes arrivés comme travailleurs volontaires après l’abolition de l’esclavage. Les Cafres sont d’origine malgache ou africaine descendants des anciens esclaves. Les Zarabs sont des indiens musulmans. Les Chinois arrivés depuis la fin du 19ème siècle tiennent souvent des boutiques en ville.
Comment ces classifications favorisent-elles la mixité ?
Certains pratiquent un « mélanges » de religions : hindouistes et chrétienne par exemple. Il y a dans chaque ville un temple hindouistes coloré, au moins une mosquée et une église. Peut-être s’agit-il de communautarismes qui vivent ensemble sans se mélanger.
Si réunion des cultures il y avait vraiment, pourquoi alors s’identifier ainsi ?
Je profite de mon regard naïf sur la situation. Je vais m’adapter à ces façons de faire, sans forcément les cautionner… sans doute est-ce ma culture qui est très personnelle, pour ne pas dire individuelle. N’est-ce pas ce que je propose : la liberté d’être soi au-delà des étiquettes ?
Mon rêve est que l’on ait pas besoin d’étiquettes pour se fréquenter.
Que chacun soit, ce qu’il ressent au fond de lui, et qu’il le partage avec fierté, tout en accueillant la spécificité d’autrui et que ces échanges fructifient.

Auto-coaching :

As-tu déjà vécu des transitions ? A quelles situations t’es-tu adapté.e ?
Que t’ont appris les autres cultures ?
Quelle est l’influence de ta culture d’origine ? Te convient-elle vraiment ?
Et si tu créais ta culture personnelle : quelle serait-elle ?

Pour ce qui est du miroir…
Quelles sont les étiquettes que je me colle ?
J’utilise mon nom, ma région d’origine, et celle de naissance comme indices de qui je suis. Parfois j’utilise mon métier ou mes relations pour être davantage reconnue.
Les étiquettes permettent de se repérer plus facilement, au risque de nous figer dans un rôle. Il me semble essentiel de savoir que ce ne sont que des étiquettes et que donc elles peuvent être décollées si bon me semble !