“La liberté n’est pas l’absence d’engagement mais la capacité de choisir”
Paulo Coelho
Hier, une amie me parlait d’un de ses choix qu’elle a qualifié de non-objectif…
Un choix est-il jamais objectif quand on sait que sans émotion, point de décision ?
Il me semble qu’un choix objectif serait un non-choix : juste une évidence !
La notion même de choix ne suppose-t-elle pas incertitude et prise de risque ?
Selon moi, le vrai choix est celui du respect de soi.
C’est oser s’affirmer en activant sa responsabilité/
Quand mon choix est en phase avec moi, je suis en joie !
Malgré le prix à payer, malgré les incertitudes…
Même quand ce choix suppose un renoncement.
D’ailleurs, quel choix n’est pas accompagné d’un renoncement ?
Dans ma vie, les choix vraiment importants ont été intuitifs,
c’est à dire guidés par ma voix intérieure, et très souvent rationnellement incompréhensibles !
Un des derniers en date a été ma demande de mutation pour la Réunion. Destination qui m’était complètement inconnue, hormis de nom (oui je suis géographiquement inculte, je le reconnais).
Cet article m’a été inspiré par ma situation personnelle actuelle…
Me voici face à un nouveau choix important auquel je ne m’attendais pas.
D’après la loi 2021-1040 du 5 août 2021, à compter du 15 septembre, si je ne suis pas vaccinée ou si je n’accepte pas de montrer la preuve de l’injection d’un produit expérimental contre le Covid19, je ne serai plus autorisée à utiliser mon titre de psychologue du travail pour exercer mon activité professionnelle.
Que faire ?
Céder me permettrait, non seulement de poursuivre mon activité salariée, mais en plus d’aller de prendre un verre en terrasse, d’aller au restaurant, de sortir de mon département (974), de participer à des rencontres culturelles et d’aller au musée, et même de participer à certaines randonnées…
De nombreuses personnes de mon entourage ont fait ce choix. Je le respecte.
Pourtant ce qui m’interpelle, c’est que la grande majorité des personnes que je connais n’a pas fait ce choix pour des raison de santé ! Pour certaines c’est l’accès à la piscine, pour le droit de poursuivre leur activité professionnelle, pour prendre le train, pour aller au restaurant et autres loisirs… la liste est de + en + longue.
N’est-il pas étrange de devoir se faire injecter un médicament en phase de test pour ce genre d’activités alors qu’on ne l’aurait pas fait pour sa santé ?
En un mot : j’hallucine ! Et toi ?
J’aimerais être à côté de la plaque.
J’aimerais que l’on me prouve que je me trompe.
J’en serais ravie car cela me rassurerait pour tous, pour chacun de vous.
Comment connaître les effets secondaires de ces nouveaux produits à 5 ans ni même à 3 ans ?
Comment croire les médecins et ministres qui affirment que ces produits n’ont aucun effet sur le système reproductif, la fertilité et la gestation donc les enfants à naître ?
Il me semble que les mêmes nous ont affirmé que le masque était inutile avant de le décréter obligatoire. Un exemple parmi tant de revirements… ces jours-ci c’est d’affirmer que les vaccinés transmettent la maladie aux non-vaccinés alors qu’on nous a demandé de nous vacciner pour protéger les autres, n’est pas ?
Côté fertilité, comment pourraient-ils connaître les effets vu que cela ne fait que quelques mois, et moins de 9, que des personnes en âge de procréer le testent ?
Assurément, le risque était nul quand il s’agissait d’octogénaires ! Je ne le conteste pas.
Qu’en est-il avec les plus jeunes ? Plusieurs femmes de mon entourage m’ont évoqué des changements dans leur cycle menstruel suite à la vaccination : est-ce juste un hasard ? Qu’en est-il pour toi et autour de toi ?
Mon intuition, depuis le début de cette « crise Covid » reste ferme et joyeuse.
Mon mental quant à lui analyse les chiffres de manière à les relativiser, c’est à dire en les replaçant dans leur contexte plutôt que de se contenter des valeurs brutes livrées, depuis février 2020, avec en général un accent dramatique, par les média mainstream et les politiques.
Mes rencontres individuelles (perso et pro) me permettent d’explorer des vécus personnels. Cela s’avère plus rassurant qu’inquiétant, surtout si je ne tiens pas compte de l’impact psychique, à savoir l’angoisse générée par la communication de masse.
Assurément, de par les troubles psychiques que la gestion de cette crise aura généré, il y a fort à parier que les psychologues seront plus que jamais sollicités !
Est-ce pour cela que l’on veut s’assurer qu’ils soient au préalables tous piqués ?
En effet, quand une personne se soumet à une obligation, même si c’est à contre-coeur, cela l’amène à modifier son état d’esprit pour limiter sa dissonance cognitive (oui c’est un terme de psy ! une fois n’est pas coutume) à savoir le désaccord avec elle-même.
Difficile de faire quelque chose en pensant le contraire… alors autant changer de pensées, c’est plus économique. C’est un mécanisme naturel. Ces jours-ci j’ai eu l’occasion de l’observer chez plusieurs personnes ayant choisi l’injection par défaut.
Bref, ma fidèle intuition est claire : elle me dit de respecter mon corps (l’injection d’un produit non choisi relève pour moi du viol, et ça je connais déjà, c’est puni par la loi !).
Je choisis de respecter ce qui me semble juste pour moi,
et d’en assumer ma responsabilité en conscience.
Ainsi, je vais probablement devoir renoncer à une partie de mon activité professionnelle car elle est soumise à l’usage de mon titre de psychologue et transformer les contrats de mon activité libérale (en supprimant le titre de psychologue), je reste coach en gestion de carrière et je crois que, titre ou pas, j’exercerai avec les mêmes compétences.