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J’ai l’impression que ses principaux objectifs sont désormais de « gommer » les symptômes : un peu comme si les pompiers se contentaient d’éteindre les alarmes ! N’est-ce pas ce qui s’est passé dans un 1er temps le 15 avril 2019 à Notre Dame de Paris ? On connait la suite… Diabète, cholestérol, hypertension… les médecins disent que cela ne se guérit pas mais que les médicaments de préférence à vie, maitrisent les alarmes.
NB : je ne suis assurément pas médecin et me contente d’observer la situation pour moi et autour de moi, et éventuellement d’inviter à la réflexion pour se positionner. Parfois, il m’arrive de douter de mon point de vue, car il semble vraiment minoritaire. « Heureusement » mon histoire me rappelle à l’ordre : dans ma famille paternelle, on pâtit et meurt plus des traitements que des maladies !
La crise Covid a exacerbé cela puisque les traitements potentiellement efficaces pour soigner ont été officiellement interdits alors que les médicaments employés étaient très anciens, très bien connus des médecins et peu couteux. Au lieu de cela, tant que la personne restait « valide » (capable de se déplacer), on lui prescrivait du paracétamol (molécule visant à éteindre les douleurs, alias les alarmes) à prendre jusqu’à aggravation des symptômes, en particulier respiratoires, susceptibles d’entraîner une hospitalisation. Il y a eu aussi le test grandeur nature d’un médicament très couteux et non validé qui n’a a priori pas donné de résultats concluants, voire pire.
Quel est le sens de ces choix ?
Serait-ce pour se limiter à l’utilisation des (juteux) vaccins expérimentés à échelle massive ?
Et si les symptômes avaient un rôle ?
S’ils étaient des alarmes capables de nous prévenir d’un déséquilibre dans notre santé ?
Si on les considérait comme des messages nous signifiant que notre hygiène de vie n’est pas orientée santé ?
Le diabète par exemple, surtout celui appelé de « type 2 », n’est-il pas directement lié à notre consommation de sucre ? Pourtant d’après les témoignages que j’ai recueillis, la plupart des médecins le traitent avec des médicaments sans évoquer de potentialité de guérison, voire même en l’excluant. Ils peuvent même affirmer que le traitement sera nécessaire à vie.    Pourtant, certains réfractaires à la médecine dite « traditionnelle » (qui a pourtant moins d’un siècle d’existence, disons avec l’apparition des médicaments, donc plutôt médecine chimique ou pharmaceutique) changent drastiquement leur alimentation et leur mode de vie et parviennent ainsi à rétablir leur équilibre glycémique sans traitement.  En voici un témoignage médical : https://www.youtube.com/watch?v=da1vvigy5tQ

Combien de nos maladies (mal a dit) sont liées à notre mode de vie : stress, sédentarité, émotions, alimentation, drogues (légales et autres), pollution… ?
Ne peut-on vraiment rien y faire ?
Qu’en est-il de notre posture physique par exemple ? Il me semble que depuis quelques années de gros progrès ont été accomplis suite à de gros dégâts chez des personnes exerçant des métiers à fortes contraintes physiques : limitation du port des charges, appareillages pour aider…)
Ces améliorations sont probablement issues d’une analyse « bénéfices/coûts », comme ce fût le cas pour le tabac dont la consommation a longtemps été encouragée par l’Etat (certains se souviennent du tabac de troupe, systématiquement offert aux militaires jusqu’en 1972) avant d’être diabolisé quand ils ont constaté qu’il leur coûtait plus (Sécu) qu’il ne leur rapportait (Seita).
Preuve que les points de vue de nos gouvernants peuvent radicalement changer.

Voici qui me fait croire que le meilleur décisionnaire c’est soi-même quand on accepte et reconnaît sa responsabilité.

Qu’en est-il de nos choix psychologiques : nos pensées, nos valeurs, nos croyances… Ces choix intrinsèques dont nous sommes potentiellement responsables, si nous acceptons notre pouvoir : être responsable et libre.

Depuis 18 mois, on nous « suggère » (euphémisme) de nous concentrer, entre autres, sur la peur du virus (avec des chiffres en données brutes, sortis de leur contexte, donc insensés) et une obligation aux gestes barrière dits de « distanciation sociale » ? Euh pourquoi ce terme alors qu’il s’agit de distanciation physique ? Quel choix étrange ? Serait-ce que nos gouvernants ne comprennent pas le sens de leur langue ou ont-ils choisi ce terme à dessein pour nous éloigner (humainement) les uns des autres ?
Quid de la prévention active ?
Qui en parle ? Quand évoque-t-on notre santé et notre potentiel immunitaire naturel ?
Qui nous explique comment en prendre soin ?
Qui nous incite à manger sainement car les fruits et légumes frais de saison nous renforcent alors que les aliments transformés nous affaiblissent et favorisent les maladies (diabète, cancer, maladies auto-immunes…) ?

J’ai écrit ce texte il y a 3 semaines, et il me semble temps de le publier. Ainsi, j’y ajoute un lien vers un texte amplement partagé depuis hier sur les réseaux sociaux. La déclaration d’Helsinki de 2002 https://www.cairn.info/revue-laennec-2002-1-page-44.htm qui complète le Code de Nuremberg https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg et le serment d’Hippocrate https://www.conseil-national.medecin.fr/medecin/devoirs-droits/serment-dhippocrate

Auto-coaching :

Quels sont mes pensées dominantes ? Quelles sont mes valeurs, mes croyances ?
Quel est mon mode de vie actuel ? Est-ce que que prends soin de mon corps ?
Que pourrais-je faire évoluer pour veiller sur moi de façon respectueuse ?

De la médecine, et nos choix

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