La spontanéité c’est d’agir sans réfléchir. C’est être soi, au risque d’être impulsif. C’est parfois être en réaction (mode réflexe), plutôt qu’en phase avec ses intentions.
La préparation c’est d’anticiper un événement en adaptant sa conduite de manière à le favoriser. C’est envisager les besoins pour augmenter les chances de réussite. Cela suppose de connaître son objectif et d’être proactif.

Auto-coaching :

Quelles sont mes expériences de spontanéité ? Était-ce l’expression d’une intention ou d’une réaction ?
Dans quelles circonstances je privilégie la spontanéité ? La préparation ? Avec quels effets ?
Pour quels projets ai-je fait preuve de préparation ? Etait-ce trop, pas assez, juste ce qu’il fallait ?

Expérience :

Je visualise ce que serait pour moi être spontané dans une circonstance où jusque-là je suis plutôt mal à l’aise.
J’imagine comment me préparer pour un projet qui me tient à cœur (plutôt que de juste espérer que ça se passe bien…).

Concilier les deux (passer du OU au ET) :

Et si la préparation permettait d’être davantage soi-même, d’être spontané sans être désarçonné ?
N’est-on pas souvent victime de nos programmations, d’habitudes qui nous ont été inculquées (du genre : « C’est comme ça qu’il faut faire » sans qu’on comprenne vraiment à quoi ça rime !).
Ainsi je suis convaincue qu’être soi, ça s’apprend, pas à pas… donc ça se prépare 😉